Poron Meurger

Historique et description de l'élément

Le Poron Meurger fut classé aux Monuments Historiques en tant que menhir en 1889. Il est appelé également la Roche du Diable du fait de sa légende.

Localisation

Commune:
La Roche-en-Brenil
Lieu-dit:
Grand Bois
Localisation:
précise

Contexte actuel

État de conservation:
bon
Menacé:
Non
Monument protégé:
inscrit
Site protégé:
non
Plan local d'urbanisme:
Non
Statut:
privé

Sources

Pierres à légendes de Bourgogne

Auteur:
Saintyves Pierre
Nature:
publication
Référence:
Les Editions du Pas de l’Anne - 1998

Pierres et Légendes de Côte d'Or

Auteur:
Vachon Patrice
Nature:
publication
Référence:
L'arche d'Or - Dijon, 1999

Etude sur les pierres de légende

Auteur:
Mairie de la Roche en Brenil
Nature:
publication

Développement local

Intégré dans un projet de développement local:
Oui
Importance dans le cadre de la vie communale:
très important
Précisions sur le cadre de vie:
lieu très connu
Etat des abords:
bon
Intérêts des abords:
très important
Précisions sur l'intérêt des abords:
belle forêt, proche de Pierre Pointe
Informations sur l'aménagement des abords:
panneau de l'ONF sur la légende du Diable
Proximité de prestataires touristiques ( < 3km ):
Non
Proximité d'un musée:
Non
Possibilité de visite:
oui
Possibilité de stationner:
oui
Voies d'accès:
chemin privé
Accessible en voiture:
Non
Office de tourisme le plus proche:
Saulieu
Proximité d'un chemin de randonnée ( < 500m ):
Oui
Nature du chemin de randonnée:
PR
Type de chemin de randonnée:
VTT

Description du culte et rite

Description de l'élément:
Ensemble impossant de blocs de granit de 50 mètres de long : un escalier a été taillé par l'homme dans la roche . Au sommet, il y a de nombreuses cuvettes.
Description du culte:
Lieu d'assemblée, de conciliabules, de sacrifices . Cette roche a le pouvoir de fendre les nuées orageuses et de protéger les localités voisines.
Existence ou non d'un rite:
Non
Nom et description de la légende:
Le diable, dit-on, était allé cherché cette pierre dans un pays éloigné avec le dessein d'en fermer la porte de l'église de La Roche. Le bon Dieu lui avait promis que s'il pouvait le faire avant que la cloche sonnât, tous ceux qui étaient dans l'église lui appartiendraient. La cloche ayant sonné durant le trajet, il laissa choir son fardeau où il se trouvait. Les creux et les bassins sont les empreintes de ses épaules ou les marques de ses efforts, que dans sa colère, il fit pour le ressaisir. Tout près de là, au lieu-dit le Rebraiement, où le diable se retire après sa déconvenue, on l'entend quelque fois la nuit, pousser des cris affreux. H.Marlot